L’élaboration d’un plan joue un rôle essentiel à la réussite de votre projet d’aménagement paysager.
À l’image de votre maison, l’environnement extérieur de votre propriété nécessite une planification stratégique et minutieuse. Pour en profiter, c’est le temps d’y penser ! Pourquoi ne pas réaliser votre plan dès cet automne, aussitôt les vacances finies, les enfants rentrés à l’école, voilà un bon temps pour planifier un nouvel aménagement vous permettant de bénéficier des nombreux avantages d’un paysagement hâtif.

Planification

La fin de l’été et le début de l’automne sont une excellente période afin de planifier votre aménagement paysager. Votre paysagiste certifié aura plus de disponibilités, il sera moins surchargé.  Sans compter que ce sera moins la cohue dans les magasins afin de faire vos achats de piscine, spa, mobiliers, et ainsi vous bénéficierez de conseils plus complets, sans oublier les aubaines possibles.  De plus, il y a tant à faire au printemps!

Organisation

Trop souvent, les clients prennent leur décision le printemps venu et ils sont déçus de constater que leur projet doit être repoussé : tous les intervenants sont bien occupés au printemps, c’est la folie du printemps ! Le piscinier, l’électricien, l’installateur de clôture, le spécialiste d’irrigation, sans oublier votre paysagiste, tous ont remplis leur calendrier printanier, l’automne précédent.  Ainsi c’est tout un casse-tête et un stress afin d’obtenir un aménagement prêt pour les premiers beaux jours de l’été.
Ce qui peut être facilement évité en réalisant toute la planification en automne, puisque les différents intervenants disposent de plus de disponibilités.  Vous éviterez de tout faire à la hâte, et vous pourrez prendre le temps de mieux réfléchir et planifier votre projet.

Visualisation

Planifiez-le immédiatement et réservez dès maintenant pour vos travaux au printemps prochain. Ainsi vous pourrez en profiter pleinement l’été prochain. Ne passez pas à côté d’un autre été sans votre nouvel aménagement!

Nous pouvons réaliser votre projet, contactez-nous pour découvrir toutes les possibilités qui vous sont offertes. Nous sommes là pour vous conseiller et réaliser votre coin de paradis dont vous rêvez.

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Ils vont de pairs, lorsqu’il est question de bien profiter de votre espace extérieur.

Votre paysagement c’est le prolongement de l’intérieur de votre maison, vous offrant une pièce supplémentaire des plus appréciés par les belles journées d’été ! Tout comme pour les meubles à  l’intérieur, votre ameublement extérieur doit être choisi avec soin, ainsi une réflexion s’impose. Après avoir établi vos besoins, voici quelques pistes de réflexion et les incontournables pour cuisiner, souper et paresser !

Format

Si vous êtes à planifier votre nouvel espace de vie extérieur, c’est génial, vous pouvez donc vous assurez que le mobilier choisi conviendra parfaitement à votre nouveau paysagement. Dans le cas d’un espace existant, mesurer bien votre terrasse et/ou patio et planifier votre espace. Pensez à votre utilisation habituelle, soit au nombre de places nécessaires pour votre petite famille. Mais assurez-vous que vous avec l’espace essentiel pour recevoir. Ainsi vos espaces doivent être évolutifs et se moduler afin de recevoir plus de convives, que ce soit en ajoutant des bancs ou d’autres fauteuils qui se retrouvent ailleurs dans votre jardin.

Style

L’ameublement est la touche qui complète le style souhaité de votre paysagement. Que ce soit pour un look contemporain, moderne, champêtre ou même vintage, il donne du style à votre aménagement extérieur. Privilégiez les couleurs neutres, que vous pourrez ‘pimper’ avec des accessoires de couleurs. Le type de revêtement choisi doit être en lien avec le style.

Confort

Après avoir sélectionné votre style, le facteur confort est primordial! Rien de mieux que de les essayer afin de s’en assurer. Miser sur des mobiliers qui offrent du confort sans trop de coussins, ce qui vous permettra de les utiliser sans eux.

Revêtement

Plusieurs types de revêtements sont disponibles (rotin, synthétique, bois, aluminium, …). Choisissez de préférence des matériaux qui permettent au mobilier de rester à l’extérieur en toute saison, et ce sans protection. Également, pensez au poids de votre ameublement. Si c’est du mobilier qui bouge dans l’espace, vous allez le préférer léger, mais dans le cas qu’il est exposé au vent, vous allez privilégier plus lourd. Et n’oubliez pas le facteur entretien, qui n’est pas à négliger! Et penser qualité, pour une question de durabilité.

Intégré

Certains éléments peuvent même être intégrés à l’aménagement extérieur. Ainsi, un foyer extérieur, des bancs, des cuisines extérieures, des tables en pierres construites, peuvent s’agencer à merveille à l’aménagement extérieur. Si vous prévoyez un nouveau paysagement, cela vaut la peine de l’envisager. Ces mobiliers intégrés nous offrent une uniformité avec le reste de l’aménagement extérieur, tout en procurant une facilité d’entretien.

Rangement

Afin de protéger vos investissements, il faut penser au rangement. Certains types de mobiliers devront être protégés pour l’hiver. Mais également les coussins contre la pluie, l’humidité, les insectes et la décoloration causée par l’exposition au soleil. Dans certains cas, un bac de rangement, ou un tiroir à la terrasse peut suffire. Mais dans plusieurs des cas, un abri de jardin et/ou un cabanon peuvent être à envisager. Ainsi, mieux vaut le planifier!

Accessoires

Les accessoires sont les détails qui mettent la touche finale à votre paysagement. Que ce soit pour mettre une touche de couleur, via les pots, les lanternes et les coussins. Ou pour l’ambiance, chauffe-terrasse, table foyer, luminaire ou pour le confort, tapis, parasol, voile d’ombrage.

Bien choisi, votre ameublement peut mettre en valeur votre paysagement. Les investissements sont importants, ainsi il est d’autant plus important de bien les choisir, mais surtout qu’il soit adapté à votre espace. Le paysagement et l’ameublement vont de pairs, vous en êtes maintenant convaincu !

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Les graminées, également connues sous le nom d’herbes ou de plantes herbacées, font partie de la famille des Poaceae. Ce sont des plantes à fleurs qui se caractérisent par leurs tiges creuses, leurs feuilles étroites et allongées, et leurs inflorescences en forme d’épis ou de panicules.

Les graminées sont l’une des familles de plantes les plus répandues et les plus diversifiées sur Terre. Elles aident à prévenir l’érosion du sol grâce à leurs systèmes racinaires denses.

Il existe de nombreuses variétés de vivaces graminées, chacune offrant ses propres caractéristiques et utilisations. Voici quelques exemples populaires :

-Panicum virgatum (Panic érigé) : Cette graminée vivace américaine est appréciée pour ses tiges dressées et ses plumeaux aériens. Elle est utilisée à la fois dans les aménagements paysagers ornementaux et dans les prairies naturelles.

-Miscanthus sinensis (Miscanthus de Chine) : Cette graminée ornementale est populaire pour ses feuilles longues et étroites ainsi que pour ses inflorescences plumeuses. Elle est souvent utilisée comme point focal dans les jardins.

-Pennisetum alopecuroides (Herbe aux écouvillons) : Cette graminée forme des touffes denses avec des épis floraux en forme de brosses soyeuses. Elle est appréciée pour son aspect esthétique dans les jardins paysagers.

-Calamagrostis acutiflora : Cette graminée vivace forme des touffes dressées et compactes, avec des feuilles étroites et linéaires d’un vert vif. Elle produit des tiges florales dressées qui portent des inflorescences plumeuses. Les fleurs sont généralement de couleur beige à pourpre et apparaissent du milieu de l’été jusqu’à l’automne. Les variétés populaires incluent ‘Karl Foerster’, ‘Avalanche’, et ‘Overdam’.

En résumé, les graminées sont une famille de plantes herbacées largement répandues et diversifiées, ayant des utilisations économiques importantes et jouant un rôle essentiel dans les écosystèmes terrestres.

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Les étés sont de plus en plus chauds au Québec et nous constatons chaque jour un peu plus les effets que cela a sur notre quotidien. Mais nous ne sommes pas les seuls à en subir les conséquences. Nous sommes de plus en plus restreints concernant l’arrosage de nos jardins, causant parfois la perte de certaines plantations, pas assez résistantes à la chaleur. On en vient donc à repenser le choix de ces fleurs qui vont venir garnir nos espaces verts.

On ne veut pas mettre des cactus de partout, alors voici nos conseils de plantes xérophytes (du grec « xéro » sec et « phyte » plante) qui résisteront plus qu’une saison :

• Achillée (Achillea). Résistantes quoiqu’envahissantes, il faudra les remettre à leur place une fois tous les deux ans pour éviter qu’elles ne s’étalent trop.

• Armoise (Artemisia). Une plante aux teintes grises tolérante à la chaleur et à la sécheresse.
• Les arbustes tels que le Berberis thunbergii, le Juniperus, le Lonicera, le Yucca Glauca ou encore le Rosa Rugosa.

• Les graminées telles que le Miscanthus Sinensis, le Deschampsia Caespitosa ou la Molinia Caerulea.Boule Azurée (Echinops). Tolérantes à tous les types de sols bien drainés, qui n’attirent ni les insectes, ni les maladies et enfin, facile d’entretien.

• Les arbres fruitiers tels que l’aronie noire, le sureau du Canada, l’amélanchier ou encore le pimbina. Ils pourront être utiles autant aux oiseaux que pour vos tisanes et autres confitures.
• Joubarbe (Sempervivum). Habituée aux sols extrêmement pauvres, la plante s’étend en tapis et créer de nouvelles pousses qui vont rester accrochées à elle.

• Physostégie (Physostegia). Appelée la plante obéissante car on peut bouger ses fleurs, elle peut s’étaler dans une plate-bande assez facilement. Surtout si le sol est frais et humide.

Les plantes indigènes sont aussi un très bon choix car elles demandent moins d’entretien, sont moins sensibles aux maladies et ont plus de chances de survie. Comment est-ce possible?

C’est parce qu’elles sont adaptées aux conditions de vie du Québec.

De plus, elles vont se reproduire naturellement et n’auront pas besoin d’arrosage, ni d’engrais chimiques. Et enfin, elles conviennent autant aux oiseaux qu’à la biodiversité locale.

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Les eaux de ruissellement provenant de la pluie, de la neige et de la fonte de la glace sont souvent un problème en milieu urbain. Cette eau parfois contaminées par les matériaux urbains (huiles, sels et métaux lourds) avant de se retrouver rapidement dans les réseaux d’égouts puis dans les ruisseaux, rivières et cours d’eaux où elle peut avoir un effet néfaste sur la qualité de l’eau, l’habitat aquatique et l’environnement.

Pourquoi ne pas utiliser ces eaux de ruissellement pour irriguer les terrains engazonnés et les parcelles végétales plutôt que d’utiliser l’eau d’aqueduc potable pour le faire?

C’est l’objectif visé par les jardins pluviaux, ou jardins de pluie. Ces jardins visent à utiliser les eaux de ruissellement afin d’irriguer des plantes adaptées aux accumulations d’eau, mais aussi à certaines périodes de sécheresse, et surtout à laisser le temps nécessaire à l’eau de s’infiltrer correctement dans le sol.

La planification d’un jardin pluvial

1- Distance des habitations et des constructions. Pour ne pas causer de dommages aux habitations et constructions (fosses septiques), le jardin pluvial doit en être suffisamment éloigné. Quatre mètres suffisent normalement. De plus, il est judicieux d’éviter de placer le jardin pluvial au-dessus de canalisations ou de câbles souterrains.

2- Déviation de l’eau vers le jardin pluvial. Pour diriger l’eau vers le jardin pluvial, le terrain doit être légèrement en pente, ou un bassin peu profond peut être creusé. La pente ne doit par contre pas être trop abrupte pour faciliter la mise au niveau du bassin : une inclinaison de moins de 12 % convient normalement.

3- Infiltration de l’eau dans le sol. L’eau doit s’infiltrer lentement dans le sol du jardin pluvial, et ne pas s’accumuler en permanence. Optimalement, l’eau devrait réussir à s’infiltrer dans le sol en deux jours. On peut faire un essai avant la construction du jardin en creusant un trou dans le sol et en y versant une quantité précise d’eau afin de voir combien de temps l’eau mettra pour s’infiltrer. Si l’infiltration est trop lente, souvent en raison d’une teneur en argile supérieure à 10 %, on peut excaver la couche de sol des vingt centimètres supérieurs, ameublir le sol, et y mélanger des matériaux plus poreux comme du sable, du gravillon ou des matières organiques. De plus, la surface du jardin devrait se trouver à au moins 1 m au-dessus de la nappe phréatique. On peut vérifier la hauteur du niveau de la nappe phréatique en creusant une fosse étroite mais profonde par temps sec et en regardant le niveau de l’accumulation d’eau à l’intérieur. On peut aussi s’informer auprès de sa municipalité.

4- Dimensions du jardin pluvial. La profondeur du bassin peut varier selon le type de sol qu’on y retrouve. Dans les sols où l’eau s’infiltre lentement, on peut prévoir un bassin moins profond pour éviter que l’eau ne s’accumule trop, c’est-à-dire une profondeur de près de 8 cm. Dans les sols où l’eau s’infiltre plus rapidement (sableux ou graveleux), le bassin peut être plus profond pour obtenir une certaine accumulation d’eau, c’est-à-dire une profondeur allant jusqu’à 15 cm. Concernant la superficie optimale du jardin pluvial, on peut essayer de la calculer en tenant compte de différents critères :

• la surface de captage de l’eau de ruissellement en mètres carrés (sur les surfaces dures comme le toit, l’entrée et le patio) ainsi que sur le gazon où l’eau s’écoulera avant d’arriver au jardin (en y ajoutant 20 %). Par exemple, on pourrait obtenir une surface de captage de 100 mètres carrés;
• la quantité d’eau moyenne prévu par 24 heures dans votre région, en s’informant auprès de votre municipalité ou sur le site d’environnement canada (varie généralement entre 5 et 25 mm par 24 heures). Par exemple, on pourrait obtenir un objectif de 20 mm par 24 heures;
• On multiplie la surface de captage (en mètres carrés) par la quantité d’eau prévue par 24 heures (en mètres) pour obtenir la quantité de mètres cubes d’eau que le jardin pluvial devra gérer. Par exemple, 100 mètre carrés x 0,02 m = 2,5 mètres cubes d’eau par 24 heures.
• On doit ensuite tenir compte de la vitesse d’infiltration de l’eau dans le sol pour connaître la superficie optimale du jardin. Si le sol permet à 15 mm d’eau de s’infiltrer par heure, cela équivaut à 0,36 m d’eau par 24 heures. En divisant la quantité d’eau prévue par la capacité d’infiltration du sol, on obtient par exemple : 2,5 mètres cubes / 0,36 mètres = 6,94 mètre carrés.

Ces calculs sont approximatifs puisqu’ils utilisent des moyennes annuelles. Il se peut donc que vous ayez à augmenter la superficie de votre jardin pluvial suite aux premiers événements de fortes pluies ou de fonte des neiges. Un système de débordement peut aussi être prévu, sous forme de rigole, afin de diriger l’eau supplémentaire vers une zone sans risque.

5- Forme du jardin pluvial. Afin d’optimiser le captage des eaux de ruissellement, il est conseillé de construire le jardin pluvial de manière à ce qu’il soit deux fois plus long (perpendiculairement au ruissellement) que large. Autrement, le style de la parcelle, qu’elle soit arrondie, rectangulaire, ou sinueuse, n’est qu’une question de goûts.

6- Le choix des végétaux et des pierres. Ces choix dépendent de vos goûts personnels, mais les plantes doivent tout de même être choisies en fonction de leur tolérance aux accumulations d’eau, et aux courtes périodes de sécheresse. De plus, les plantes indigènes sont souvent beaucoup plus faciles d’entretien. Il peut aussi être intéressant de tenir compte des périodes de floraison des différentes espèces végétales utilisées pour que le jardin pluvial soit esthétique durant toute la saison de croissance. Par contre, veillez à éviter les plantes envahissantes problématiques au Québec. Les jardins pluviaux peuvent être aménagés au printemps lorsque les plants sont transplantés directement dans le jardin, ou à l’automne lorsqu’on procède par ensemencement (graines). Les deux méthodes sont conseillées, mais l’ensemencement, bien que moins coûteuse que l’achat de plantules à transplanter, entraîne une implantation plus lente des végétaux, pouvant aller jusqu’à trois ans dans certains cas.

Voici quelques exemples de différents types de jardins pluviaux :

L’entretien d’un jardin pluvial formé de plantes indigènes

Durant l’implantation des végétaux, il pourrait être nécessaire d’arroser le jardin à quelques reprises en périodes sèches afin de promouvoir les meilleures conditions de croissance pour vos plantes, et de désherber manuellement si les mauvaises herbes tentent de prendre le dessus. Par la suite, le jardin devrait s’auto-entretenir naturellement.

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Corbeilles rectangulaires grillagées qui, remplies de pierres sur place, forment des structures monolithiques adaptables et perméables.

Les gabions sont utilisés pour toute situation où une structure de retenue est nécessaire, mais qui doit également être esthétique et respectueuse de l’environnement.

Le mur en gabion, aussi appelé mur en pierre grillagé, est une clôture assez originale. Il s’agit en effet d’une vaste cage métallique, que l’on assemble en liant différents panneaux entre eux, et dans laquelle ont déverse des pierres. Le mur-clôture en gabion peut aussi s’agencer avec différents matériaux comme le bois ou le métal brut.

Il s’agit d’une solution solide et durable, qui ne demande aucun entretien.

En tant que construction sèche, le mur en pierre grillagé est prêt immédiatement, ce qui accélère le chantier.

On peut en faire des écrans d’intimité, mur antibruit ou des panneaux de clôture originaux. Dans cette nouvelle tendance où l’on intègre des éléments à référence industrielle dans nos aménagements,  on les retrouve sous plusieurs formes autant en base pour fabriquer une table ou pourquoi pas un banc.

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